Bonjour à toutes et à tous,
Ce matin malgré le petit Mistral vous avez été nombreux à venir faire le circuit caractéristique de la Salva.
En effet, après une brève visite à "Galinette" du Puy St Reparades le fameux mach dit 'La Bonne Bourre" s'est joué entre les 5 participants(e) non branchés. Les "Branchés " étaient là en tant que spectateurs, pouvant s'ils le pouvaient servir de bouclier au vent ! Au sommet de la fameuse côte, c'est Lolo qui devançait Patrick et JB. Ils étaient acclamés comme il se doit à la remise du trophée et comble de surprise Lolo prenait la parole pour associer Frédérique à sa victoire et lui dédiant l''objet" encombrant. Re et Re applaudissements.
Je reviens sur la commémoration dédiée à nos chers disparus. Elle s’insérait dans le cadre du 40 ème anniversaire du CCC pour lequel grand nombre d'entre eux ont été la "pierre angulaire " de notre club : nous ne les oublions pas.
Merci à toutes et à tous
Merci à Jackie et Marie-T
JP
La clémence du ciel nous a permis de tenir belle manifestation ce jour : la fête de la St Michel (toujours fêtée à Coudoux en avance sur le calendrier !!!).
Bref, le RDV a tenu à peu prés ses objectifs tant par le nombre de participants (es) 112 avec Coudoux sur les pédales et sur le stand.
15 clubs nous ont rendu visite, c'est moins que l'année passé. Nous regretterons l'absence de quelques voisins, c'est dommage ! Qu'en à la participation financière, elle n'a pas était brillante : moins de 100 €. Certes les temps sont durs mais tout de même il ne faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages !!!
Bref,tout de même nous remettrons cela l'année prochaine.
Grand merci à toute l'équipe du CCC venue sur le stand et aussi grand merci à celles et ceux ce matin qui étaient levés de bonne heure.
JP
La Savoie, c'est beau et ça s’voit !
Comme les Trois Mousquetaires, nous partîmes à quatre dans le fourgon obligeamment prêté par la municipalité de Coudoux. Sans armes mais avec les bagages et nos cinq vélos.
Quatre heures et trente minutes plus tard, nous nous installions dans un hôtel de St Jean de Maurienne, connu dans toute l’E.U. Température fraîche, ciel bas et gris, suffisamment lourd pour nous inquiéter de notre projet de la journée de demain : gravir les cols du Glandon (1924m) et de La Croix de Fer (2067m).
Une bonne fée, nommée Rose-Marie (prière de ne pas l'appeler Marie-Rose, c'est "épouxvantable") nous avait préparé de succulents maccaronis à la tomate que nous dévorèrent à quatre dans un square carré, pour l'heure déserté par les amants de St Jean. Une bouteille d'un excellent Beaujolais de 2020 que Daniel avait songé à apporter fut carrément appréciée.
Une bière plus tard dans un endroit sonore et nous fûmes à l'hôtel où nous n'usâmes pas de la possibilité de fumer sur le balcon des chambres, laissant cette mauvaise manie à d'autres, car il en faut pour tout le monde.
Avec l'inquiétude de la météo du lendemain, certains des Mousquetaires passèrent une mauvaise nuit imméritée.
Samedi 1er juillet, départ du Tour de France, quelques morceaux de ciel bleu apparaissaient entre les nuages. Suivant les conseils avisés de Daniel, nous étions couverts, bien emmanchés pour la plupart et même un cuissard long pour un singulier.
Échauffement le long de la vallée de la Maurienne car il faisait frais jusqu'à Ste Marie, puis St Etienne de Couines et enfin, à nous les cols durs !
Bien entraînés par le hors d'œuvre de la semaine précédent dans le Trièves, Laurent prit la tête, suivi par Patrick, Daniel faisant le vélo-balai au cas d'une défaillance de JaC, avec dans sa sacoche électrique tous nos effets pour la descente. Dire que nous glandons en route serait exagéré mais enfin : 20 km de montée pour plus de 1400m de dénivelé positif, ça se fait. D'autant plus que nous faisons route avec le CTG, un club de Cyclos Grenoblois que nous retrouverons tout au long des deux jours, sympathiques, ne manifestant pas sinon une volonté exprimée de faire passer le BRA -Brevet de Randonneur Alpin- aux Provençaux que nous sommes : les pôvres !
Avant d'atteindre le sommet le ciel s'est éclairci et même apparaît le soleil. Les paysages sont magnifiques ; il ne fait pas froid (pas chaud non plus) et atteindre la Croix de Fer proche avec ses 2067m est une plaisanterie (bien sûr, si je mens je vais en enfer car nous avons revu la semaine dernière près de Mens : "PRÉPARE-TOI A COMPARAÎTRE DEVANT TON DIEU" cf. Vélocipède n° 42-2021).
Après le deuxième col, la descente s'engage à tombeau entrouvert car deux Mousquetaires n'ont pas l'âge requis. Notre objectif est de déjeuner à St Sorlin D'Arves car il est déjà 13h. emportés par notre élan nous dépassons l'auberge où nous avons réservé et il nous faut remonter bien au-delà du village pour prétendre enfin à une bière méritée et un repas délicat. Il fait encore beau mais comme le dit le corbeau dans les films d’horreur : cela ne va pas durer.
Nous reprenons la descente vers St Jean de Maurienne et St Jean d'Arves (je ne vous fais pas un dessin mais pense que c'est à dessein que foisonnent les noms de Saints ; voir + haut) et "Horreur ! Malheur !" le ciel s'assombrit et nous apprenons que des travaux nous empêchent d'atteindre directement notre but. Nous formons un groupe mixte retraités/travailleurs et cela nous permet d'apprécier cette péripétie qui nous empêche d'arriver trop tôt en nous permettant de gravir un troisième col dans la journée.
Nous devrons atteindre le col du Mollard à 1638m et, comme se doit, c'est humide dès le sommet et nous mettons double ou triple couche dans la descente, sous une pluie battante et fraîche derrière Daniel le béni, que même Laurent ne parvient pas à suivre sur une chaussée mouillée et parfois gravillonnée.
Pendant les douches, nous regardons la première étape du Tour de France 2023. C'est un duo de jumeaux Grands-Bretons qui gagne à Bilbao. Vive l’Europe !
Avant le repas du soir, nous décidons de charger les vélos dans le fourgon pour gagner du temps le lendemain matin. A la grande surprise de l'un d'entre nous, les pneus bleus d'un de nos vélos sont usés jusqu'à la trame dont des bouts dépassent largement sur le pourtour. Cela n'est vraiment pas digne d'un Mousquetaire que de s'être embarqué ainsi sans vérifier l'état de sa monture. De plus, lors de la grande descente sous la pluie, s’ils avaient perdu l'un des leurs, les quatre Mousquetaires se seraient retrouvés à l'étroit. Patrick ayant apportés deux pneus de secours, Daniel et lui changent les pneus de l'imprudent qui ne peut que les remercier de pouvoir affronter demain de nouvelles aventures.
Repas à l'hôtel et nuit réparatrice pour trois des quatre Mousquetaires, le quatrième la passant à tirer sur ses crampes.
Hôtel réglé, bagages chargés...temps couvert mais pas de pluie. Nous espérons une matinée aussi clémente que la veille, nous verrons bien.
En route pour St Michel de Maurienne (!) où un chien fou que je ne nommerai pas veut grimper le col du Télégraphe en négligeant la remarque d'Alain B. (+ de 12km mais- de 900m de dénivelé +).
Les trois autres gravissent le col en fourgon et réalisent que ça monte ! Garent le véhicule au sommet et en route pour Valloire où ils recherchent un café ouvert. Il fait frais le ciel s'éclaircit lentement au cours de la montée vers le Galibier : 2642m, - de 20km depuis Valloire et plus de 2000m+.
De façon inattendue, la montée- lente pour votre serviteur- paraît longue et nous permet de découvrir des panoramas à vous redonner du souffle pour poursuivre votre effort, le soleil est de la partie mais il ne fait pas chaud en montagne (nous re bénissons Daniel). Au passage de la Ferme des Etroits, l'un des Mousquetaires s'esclaffe, silencieusement. Les vaches nous encouragent en faisant tinter leurs cloches pour annoncer l'arrivée proche. Les vélos qui nous doublent sont plus nombreux que ceux que nous passons, sauf s'ils sont à l'arrêt. Des cyclos de la CTG nous passent, échangeons des amabilités, le temps est beau, le paysage grandiose plus nous montons. 19.80 ? je pensais que nous étions vers 2200m, à non ! c'est le prix du Beaufort au kilo. Nous y repenserons.
Chacun à notre rythme, lent pour ce qui me concerne, nous atteindrons le sommet mythique. Patrick, puis JaC chapeauté par Daniel. Au sommet du Galibier il fait froid, le vent souffle et a dégagé les nuages des sommets. Panorama double, Savoie et Haute Savoie, de chaque côté du col. C'est vraiment magnifique la montagne, on gagne à chaque fois...Mais Laurent manque, nous craignons qu'un Télégraphe plus un Galibier, cela fasse beaucoup. Le message passe et nous descendons lentement à la rencontre de l'absent pour lui permettre de redescendre avec nous.
Que nenni ! Trois km plus bas, c'est Patrick qui remonte accompagnant Laurent qui paraît fatigué. Nous lui proposons d'inverser le sens de la pente, refus hautain : "Plutôt mourir sur le vélo". Il fait le fanfaron avec ses pneus neufs ! Jambes moles ... tête dure ! Les deux actifs poursuivent leur ascension et les deux inactifs descendent à la fruitière de la coopérative locale du Beaufort. A l'abri du vent ils se réchauffent en attendant leurs compères.
Un coup de soleil plus tard, ils sont là et réunis nous descendons vers Valloire sans hâte, nous arrêtant au passage devant des "sculptures temporaires" en paille aux formes oniriques. Le premier restaurant fera l'affaire, à savoir se réchauffer pour les uns et améliorer leurs coups de soleil pour les autres.
A 14h30 nous reprenons vers notre dernier col : le Télégraphe. Depuis Valloire c'est une formalité et même celui qui l'a déjà gravi par sa face difficile l'avale rapidement, selon son style propre. Nous nous changeons au fourgon et laissant ceux qui ignorent la beauté du Galibier se prendre en photographie devant le panneau du col, nous partons vers Coudoux -dans un véhicule où règne une odeur très genrée "homme"- où nous espérons être avant 20 heures.
Grace aux deux plus jeunes qui, comme à l'aller, se relaient au volant et grâce aux bouchons qui se forment DERRIÈRE nous, les autoroutes de montagne puis de la vallée du Rhône nous permettrons d'atteindre notre objectif en temps espéré.
Chez Daniel G., devant une bière sans faux col les Trois Mousquetaires clameront leur devise, inspirée par l'un d'entre eux : "Un plus trois, trois plus un !"
Témoignages des participants :
"Nous n'avions pas tout vu lors de notre première virée en 2020, Mais à l'issue de cette deuxième édition nous pouvons dire que ce n'est pas une fin en soi ! "
Jean-Pierre
"La vérité si je Mens, la montagne ça vous gagne !
Et cette fois, pas besoin de grands cols, pour se faire les jambes, un cumul de dénivelé par enfilade de cols plus modestes, fini tout aussi bien par nous faire atteindre des sommets"
Laurent
"De tous les parcours faits, il est l'un des plus beaux, pour nos yeux, pour nos jambes et les moments de partage. Tellement magnifique, qu’on en oubliait la fatigue et les moments d’ endurance. J’ai encore des étoiles dans les yeux et de belles images dans ma tête"
Michel
"Belle organisation du CCC dans le Trièves . intendance au top grâce à Marité ,Jackie et Édith Très bon choix des parcours, du Samedi et du Dimanche sur de belles routes et de beaux paysages, Du beau temps et une très bonne ambiance entre les huit participants . Un beau week-end et de beaux souvenirs"
Claude
"Comment ai-je pu oublié le Trièves de 2020, Un séjour trop court 2023, un paysage de douceur, de fraîcheur offerte gracieusement sur ces routes bâties en voûtes d’arbres verdoyants, ces prairies clairsemées de coquelicots, de bleuets qui se dressaient à notre passage, j’aurais bien troqué ma bicyclette pour quelques pinceaux et couché sur un papier canson ce paysage magnifique. Je vous offre volontiers mesdames le bijou naturel émeraude lac du Sautet, en échange de vos mets préparés avec amour, que nous avons savourés tout au long de ces jours d’amitiés. Le vélo : il y avait des pentes difficiles, peut être, je ne m en souviens pas."
Alain
"Le Trièves ,,, Là où on est, on est bien. Et on voit loin, et on voit haut. Puis on a vite envie de faire une photo. Par crainte d’oublier.C'est l'avantage du vélo que de pouvoir s'arrêter à chaque fois que le paysage vous y invite. Malgré la fatigue, car le pédalage est quelquefois difficile, on a envie d'aller voir plus loin"
Jeannot
Après tout ça vient le compte-rendu…
La D.1075, entre le col de Lus- la-Croix et Monestier-de-Clermont est un balcon de 25 kms avec vue sur le Trièves. Comme en 2020 le C.C.C. a séjourné ce weed-end de fin juin, dit des Alpes, en réalité dans les Pré-Alpes, au camping du Pré-Rolland de Mens. Pour les Alpes, il y a autre chose dans l’air pour les jours qui suivent...
Le Trièves c’est une mini-région de 630 km²en collines, champs et forêts, de 25 kms d’est en ouest et pareil du nord au sud, Elle n’est traversée d’aucune grande route, Idéal pour le vélo mais aussi pour les promenades douces. Voire la marche… La ceinture des hautes montagnes du Vercors et du Dévoluy nous donne l’occasion , comme en 2020, d’aller voir de l’autre côté. C’était le Vercors et le Diois en 2020, c’est le Valbonnais et le Dévoluy cette année.
2023, Pour samedi le vertigineux Drac puis le Dévoluy jusqu’au défilé de la Souloise, en passant par Corps, étape des « Cent jours de Napoléon » et le lac du Sautet. A l’extrême sud , Saint Disdier, pas grand-chose à voir sauf un bon café. Pour le dimanche le coeur du pays en suivant l’Ebron qui finit au pont de Brion avant de s’écouler sur le lac de Monteynard.
A chaque retour au bercail, on est impressionné et on a du mal à s’imaginer avoir été quelques heures avant de l’autre côté de ces montagnes,
En chiffres, un samedi ordinaire de 9 heures de sortie dont 5h30 sur la selle pour faire une centaine de kilomètres et plus de 1900 mètres de dénivelé. Pour compléter un dimanche pas moins ordinaire de 55 kms et plus de 1100 mètres de dénivelé, En température on est passé de 35° à de courts passages à 19°. Pour ce qui est des performances caloriques, tout cela a été possible grâce à une préparation gastronomique pointilleuse et conséquente, ainsi qu’une motivation reconnaissante et répétitive, juste ce qu’il faut, en produits liquides. Pas seulement pour la vaisselle.
En ces instants liquides et précieux, malgré les points de vue divers et variés sur les qualités télé-visuelles de nos émissions préférées, vaste sujet de discussion, au final se dégage une convergence d’opinions par lever du coude unanime. Bref, le partage en maître mot.
Pour assurer la réussite la logistique et le matériel ont été bien préparés, en GPX, VAE et autre carte Michelin. Chacun sa technique, Quant au musculaire, ça suit encore. Ouf !
Une pensée également pour Frédérique et Jo qui étaient prévu(e)s au programme et empêché(e)s pour cette fois.
Pour conclure, il semblerait, sauf erreur, que nos photos aient été autant de messages à cette nature que nous aimons, messages d’amour ? Même quand elle nous donne un peu de fil à retordre pour la reconnaître. Mais est-ce propre au vélo ?
A plus sur le vélo pour ne pas se prendre la tête mais toujours les jambes.
Jeannot
Bonsoir chers compagnons,
ci joint le fruit de votre plaisir, il y en avait pour tous les goûts !
En tous cas nous sommes prêts à recommencer : c'est tellement beau !!!
Merci Daniel, nous comptons sur toi.
Le petit "jeune" (92 ans) s'appelle René Genin et c'était un courreur professionnel de 1951 à 1959 (voir son palmarès).
A + JP
Rendez-vous était pris entre le cyclo club de Coudoux et le groupe des jeunes Allemands d'Owingen vendredi 2 juin dans le petit village de Cheval Blanc où un circuit avait été établi par Jacques et Daniel pour rejoindre Coudoux en fin d'après-midi .
Malgré un retard d'une heure environ dû à un violent orage nous avons afin pris la route pour un superbe parcours de 55 km .
A notre arrivée à Coudoux un rafraîchissement et un bon repas ont clôturé cette magnifique journée.
Jocelyne et Joël Galina
Pentecôte à Mejannes le Clap
Mejannes …. C’est là dans ce village perdu dans une belle nature des Cévennes que nous allons passer notre séjour Pentecôte au VVF. Pour nous accueillir un super dirlo : Olivier. Il y va de son petit pitch rappelant entre autres que l’établissement des années 65 (du siècle dernier) sera entièrement rénové prochainement. Nous lui avons promis de revenir dans 3 ans, si toute fois nous pouvons tenir jusque-là !!!
-12 h ! Il est l’heure de passer à table, un grand moment pour les 25 membres ayant faits le déplacement. Sortie de table, nous sommes tous rassurés : c’est très bien comme c’est souvent le cas dans les VVF. Pour le reste des repas pris ici et ailleurs, je ne m’étendrai pas davantage, Marie –T et Jackye ont fait suffisamment de photos mises sur les réseaux pour nous mettre en appétit !!!
Maintenant, place au vélo. Il est pour principe de rouler tous ensemble le samedi après- midi, ce qui fut respecté tout au long de ce super parcours dessiné par JB (47 kms et 578 m de dénivelé). Un seul bémol ! La température de 38 °c. C’est du lourd, heureusement que les copains sont à l’unisson pour porter aide au non branchés EDF ! De ce fait tout le monde sera à l’heure pour l’apéro CCC : Incontournable !!!
Voir carte interractive du parcours commun du samedi
- Dimanche, pour les rescapés de la veille une belle boucle les attend. Ils pourront découvrir tous les joyaux de la région : villages (les plus beaux de France), rivière où l’on se baigne (il y a encore de l’eau !) cascades. Et tout ça sur des routes toutes neuves et sans voiture…..Magique ! Par contre ce qui l’est moins se situe au 80 em km : 5,7 kms de côte. Toujours par forte chaleur, la difficulté finale avec les 2 derniers kms de plat font très mal…. Enfin tout sera effacé, avec le bon bain dans la piscine qui nous attendait.
Pour les autres membres qui avaient choisi l’auto pour le déplacement, ils en prirent plein les mirettes sur toutes les belles choses découvertes et bonnes choses à ingurgiter (demandez le programme à Marie-T et Jackye)
La journée ne pouvait pas se terminer sans une note sortant de l’ordinaire ! Eh bien ce fut fait en la chapelle de Mejannes le Clap. Un trio vertueux était là pour une sérénade de 1h30 sur la musique d’un compositeur parfaitement inconnu (disciple de Bartók) mais aussi sur des musiques alimentaires du « petit Mozart ». Certes, pas de quoi en redemander, mais dans l’ensemble plutôt agréable (surtout la fin !).
Voir carte interractive du parcours du dimanche
- Déjà lundi ! Ce soir il manquera les 2 travailleurs à l’appel ! (Laurent et Rose-M). Néanmoins, ils auront eu le plaisir de s’offrir avec les quelques autres cyclos (6) la montée « du Guidon du Bouquet » Une attraction en soi ! Sur 5/6 Km avec des pentes entre 10 et 20 % : ça calme ! Arrivés au sommet, ils seront acclamés par l’ensemble du CCC venus en grand nombre pour nos cyclos mais aussi pour le spectacle du départ des parapentes en grand nombre sur ce spot réputé de la région.
L’après-midi pour certains se terminera par une belle rando imaginée par JB sur un site avec en toile de fond un magnifique village : MONTCLUS (tout un programme !)
Voir carte interractive du parcours du lundi
Nous remercions René pour ce magnifique choix, encore grâce à lui nous nous sommes régalés.
Bravo à JB pour ses choix de circuits.
A l’année prochaine, Où ?
Amitiés
JP
Jeudi 1er juin, 1ere sortie du mois ? Je confirme.
Le week end de Pentecôte passé sans grandes surprises kilométriques et dénivelé, il fallait se dégourdir les jambes sur le Col du Pointu.
Départ 7h30, les fadas du vélo de Coudoux étaient présents, Jean-Pierre, Daniel, Michel, Jeannot, Jac, Pierre-Jean, Julio et moi.
Direction 4 termes, loupé !….donc Eguilles et son trafic quotidien, heureusement pour nous, on ne le subissait que dans le sens inverse.
Direction Rognes puis Cadenet, arrêt café de 15 min environ et reprise vers Lourmarin accompagné d’une météo très favorable. Les Combes de Lourmarin nous attendent, un plaisir des yeux, très roulant, pas de trafic, et groupe CCC en harmonie malgré un déraillement du vélo de Jac. Petit arrêt au Col du Pointu, où nous avons échangé quelques émotions de parcours avec un couple cycliste Helvétique, photo…loupée !
Descente vers Apt pour 1,5 kms environ, D232 sur notre gauche, arboré de cerisiers couverts de fruits qui ne demandaient qu’à être dégustés… J’ai osé… Petite remontée dans le village de Bonnieux, court arrêt auprès d’une table qui désirait être envahie. Loupé !
Arrêt un peu plus haut sur une fontaine du village, plutôt rare de nos jours, pour remplir ma gourde aride, direction la foret des cèdres, arrêt… loupé !
En compagnie de Jac, nous attaquons la descente, superbe paysage encore. Enfin Lourmarin, splendide coup d’œil sur le château du XV siècle construit sur des ruines de forteresse du XII ème siècle. On connaît bien sûr, mais faut pas le louper.
Pédalons sus sur Cadenet, route de St Paul, traversée de Lambesc par le casse cul, OUI !, et notre tant désiré Quatre Termes, la bière chez Michel annoncée ne ravit seulement quatre cyclistes…elle était délicieuse, faut pas louper, merci Sucellos (non non Pierre Jean !!).
In fine 105 km, 1300 m de dénivelé, 4h53 de route et mal aux pattes ????
Bonne matinée entre copains ; je me conseille un repos de quelques jours….
BA.