2023


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Salva 2023

Bonjour à toutes et à tous, 

Ce matin malgré le petit Mistral vous avez été nombreux à venir faire le circuit caractéristique de la Salva. 

En effet, après une brève visite à "Galinette" du Puy St Reparades le fameux mach dit 'La Bonne Bourre" s'est joué entre les 5  participants(e) non branchés. Les "Branchés " étaient là en tant que spectateurs, pouvant s'ils le pouvaient servir de bouclier au vent ! Au sommet de la fameuse côte, c'est Lolo qui devançait  Patrick et JB. Ils étaient acclamés comme il se doit à la remise du trophée et comble de surprise Lolo prenait la parole pour associer Frédérique à sa victoire et lui dédiant  l''objet" encombrant. Re et Re applaudissements.

Je reviens sur la commémoration dédiée à nos chers disparus. Elle s’insérait dans le cadre du 40 ème anniversaire du CCC pour lequel grand nombre d'entre eux ont été la "pierre angulaire " de notre club : nous ne les oublions pas. 

Merci à toutes et à tous

Merci à Jackie et Marie-T

JP

St Michel
















La clémence du ciel nous a permis de tenir belle manifestation ce jour : la fête de la St Michel (toujours fêtée à Coudoux en avance sur le calendrier !!!).

 Bref, le RDV a tenu à peu prés ses objectifs tant par le nombre de participants (es) 112 avec Coudoux sur les pédales et sur le stand. 

15 clubs nous ont rendu visite, c'est moins que l'année passé. Nous regretterons l'absence de quelques voisins, c'est dommage ! Qu'en à la participation financière, elle n'a pas était brillante : moins de 100 €. Certes les temps sont durs mais tout de même il ne faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages !!!   

Bref,tout de même nous remettrons cela l'année prochaine. 

Grand merci à toute l'équipe du CCC venue sur le stand et aussi grand merci à celles et ceux ce matin qui étaient levés de bonne heure.

JP

semaine des retraités 2023 : VALENCEY


Quelques mots sur cette semaine des retraités qui vient de s’achever :

Oui une fois de plus les Anciens (es)sont partis planter leurs choux à 680 km de Coudoux, au pied d’un très beau château celui de Mr de Talleyrand à Valençay dans le dpt de l’Indre. Ce château est à l’image du bonhomme c’est tout dire !!! Pour nous qui ne faisons pas partie de la famille nous avons été logés au VVf (l’étage du dessous) . Mais très bien à tout point de vue …

Quelques-uns (e) d’entre nous ont fait du vélo et même beaucoup !!! (+ de 350 km). Il est vrai que la région s’y prête : beaucoup de forêts, de très petites routes en bon état et sans voiture. Ce fut essentiellement le matin que nous pratiquâmes, la température caniculaire devenant insupportable en fin de matinée : plus de 38 °c ! C’est donc pour beaucoup la visite des châteaux qui fut le refuge pour quelque peu y échapper ! Et ici en Indre et Loire, il y en a à foison …Je ne vous les citerai pas, les guides touristiques sont là pour cela. Néanmoins comme d’autres, j’ai eu le privilège de visiter le château de Bouges : une petite merveille par son ameublement (chose assez rare !). Je ne vous en dis pas davantage.

Autre visite remarquable qu’il ne fallait pas manquer : le parc animalier de la Beauval à seulement 45 km de notre hôtel : avec ses pandas …. Incontournables.

Autre incontournable de la semaine : l’apéro ! A 18h30, avec l’agreement du directeur du VVF c’était tous les soirs ce merveilleux moment de nous retrouver dans le parc de l’hôtel sur le bord de la rivière. Refaire la journée ! Revivre les visites d’ici et là au bénéfice de tous ceux et celles qui ne les ont pas faites … Merveilleux !!!

A présent le temps est devenu vilain, il est temps de rentrer à la maison ! A tout de point vu nous garderons un bon souvenir de cette semaine.

Merci René

JP  

Ventoux par Sault

Pour bien dormir ce soir !!!


Par ces fortes chaleurs comment se rafraichir ! C’est la piètre question que beaucoup de gens se posent actuellement.

Eh bien au CCC nous avons trouvé : une balade au Ventoux.

Ah ! Ce ne fut pas simple car c’était engager des responsabilités sur la santé des participants. Enfin, le bon sens l’a emporté par le fait que de prendre de la hauteur ne pouvait que résoudre notre anxiété tout comme les passagers de la montgolfière rencontré de bon matin.

Et nous voila partis de Coudoux pour certains (es) dés 6 h …. A peine 2 heures de route pour arriver à Sault notre point de départ. Il y fait très bon un petit 20 °c . Déjà sur les pentes descendantes nous y rencontrons des cyclos sur le retour tous habillés de K-W. Effectivement, au fil des Km nous ressentons une bonne fraicheur sous le couvert des arbres, ce qui nous donne une bonne énergie pour gravir ces premières pentes à petits %.

Vers 10h 15 les premiers du groupe arrivent à Chalet Reynard, la température est toujours excellente pas plus de 25°c alors sans hésiter c’est parti pour les 6 derniers Kms tant redoutés.

Un peu de monde mais sans plus, la fin des vacances est là. S’en est pas plus mal, nous respirons mieux !!! Tout de même, malgré les assistances EDF équipant quelques vélos, ce n’est toujours pas simple de se hisser au sommet surtout sur les 2 dernières rampes, les Non EDF l’attesteront doublement !!!

Il est 11 h passé, photos prisent attestant de notre passage ! C’est reparti pour une belle descente de 25 km, dans un air est presque frais ! Mais seulement jusqu’à Chalet Reynard.

Au fil des Kms nous sentons monter la température par des bouffées d’air très chaud. A présent la route n’est plus ombragée et nous restons dubitatifs de voir des cyclos monter dans cette fournaise.

Encore, un bon coup de pédale pour arriver à Sault et c’est gagner pour se taper la bonne bière qui nous attend dans la glaciére.

Il est midi, tous (tes) réunis autour de la table du restaurand habituel choisi à Sault.

Race Across France - RAF (*)


Par où commencer ?
La Race Across France 1000, c’est donc 1000 kilomètres ente Megève et Mandelieu avec 20 000m de D+ !
1000 raisons de ne pas se lancer, 1000 objections de votre entourage pour ne pas y aller, mais c’est aussi 1000 bonnes raisons de le faire …
Si vous vous souvenez bien j’avais souffert sur la 300 et j’étais bien entrainé. Cette année, j’ai roulé moins de deux milles kilomètres en prenant le départ. L’angoisse de la galère est bien présente.
Mais cette fois-ci je ne me fais pas avoir, j’ai une stratégie :
Plan A : Je suis en forme et je le boucle en 60-65h
Plan B : Je ne suis pas en forme et je le fais en mode rando sur 4 jours avec nuit au chaud.
Plan C : Mon intégrité physique est menacée, je cherche la gare la plus proche et je rentre.
Cette année j’ai opté pour un Cannondale Topstone, un vélo de gravel que j’ai ”modifié” en route. Mais là aussi il y a un problème qui me stresse bien, je n’ai eu ce vélo que 10 jours avant la course à cause d’un problème de boitier de pédalier, de fait je ne l’ai pas testé sur longue distance.
C’est donc avec énormément de stress que j’ai pris le départ, mardi 27 juin à 10h54 précise, même si ça ne se voit pas sur la photo.

Les deux premières heures se passent très bien, les paysages sont beaux et nous nous retrouvons en petits groupes. Je roule avec 2 autres gars bien plus jeunes. Un des deux propose un arrêt café, le plus jeune refuse, mon stress n’étant toujours pas parti je suis le mouvement
L’organisation a changé le parcours le matin du départ, je n’ai pas pu charger la trace sur mon GPS, au lieu de me poser et de réfléchir, j’ai agi en mode chimpanzé, j’ai suivi le groupe, alors que j’avais planifié des pauses régulières, que j’avais la nouvelle trace sur le téléphone, bref je n’ai pas fait preuve de lucidité. . Je pense que ce fût ma première erreur.
Mais je suis en forme, les paysages sont magnifiques, j’enchaine les kilomètres sans réel problème. J’arrive au col du Mollard, (Km 150), qui précède le col de la croix de fer, à un kilomètre du col je suis pris de violentes nausées, impossible d’avancer, je finis à pied !
Je me pose la question, j’ai souvent cette nausée, plus ou moins forte, toujours au 150ème kilomètre, hypoglycémie ? Déshydratation ? Stress ? Je n’arrive pas à savoir.
En haut du col je remonte sur le vélo et je cherche un gîte, je bascule du plan A au plan B. Je ne trouve rien dans le village, quelques kilomètres plus loin je tombe sur un petit immeuble au milieu de nulle part, un couple prend l’apéro sur le balcon. Je les interpelle pour savoir où je pourrais trouver un gîte … La réponse m’anéanti, il n’y en a pas ! Je devais avoir une salle tête car le couple m’hébergera pour la nuit ! Nous resterons en contact les jours suivant car Alban a suivi ma progression tout au long de la course.
Le lendemain matin j’attaque le col de la croix de fer, descend sur Grenoble et remonte à Saint Jean en Royan ou se trouve la base de vie N°1. Les villages et les paysages sont splendides, j’en prend plein les yeux et je suis heureux d’être là. Je ferais les derniers kilomètres avec un concurrent de Millau engagé sur le 2500km.
Dans la journée j’ai du faire régler mon vélo car il me fait mal au dos et chaque montée est un véritable un calvaire. Une fois un peu mieux réglé j’ai rallié la base de vie où j’ai pu
prendre une douche, me changer (chacun avait droit à un drop bag de 20 litres) et dormir un peu.
Dormir n’est pas vraiment le terme exact car entre le gars à ma droite qui revit ses ascensions dans son duvet, le gars à ma gauche qui ronfle emporté dans un sommeil chargé de fatigue et le gus, je ne sais où, qui fait sonner sa montre toutes les 5mn de peur de ne pas se réveiller, je dirais que je me suis reposé, mais dormi, non !
Levé à 4h pour partir à 5h, je manque d’organisation pour tout mettre dans la sacoche de selle. Il fait froid, du moins j’ai froid, à 8h je m’arrête prendre un café et manger, 20mn plus tard je serai bloqué par un chantier de réfection de la chaussée. Je suis parti trop tôt pour avoir l’information de la part de l’organisation et trop tard pour passer avant le début des travaux. S’en est suivi une séance de jardinage pour retrouver la trace, mais l’organisation suivait ma trace gps (chaque concurrent à une balise) et il m’ont remis sur le bon chemin. Là deux cyclistes locaux m’ont demandé si je faisais la RAF et ils m’ont accompagné jusqu’au bon croisement.
Finalement, il fait très chaud, le thermomètre affiche 35°C quand j’attaque le col de Grimone, je décide de faire une pause baignade dans le torrent que la route longe … Après tout j’ai choisi l’option B. A quelque kilomètre du col, la gendarmerie m’interpelle, gentiment, ils veulent savoir quelle est cette course. Ils me disent de me dépêcher car le temps va tourner à l’orage.
Je finis le col et fais la descente sous le soleil, mais arrivé dans la vallée je roule sur une route mouillée et le ciel gronde. Un concurrent qui était deux heures derrières moi aura droit à la grêle. Nous recevons un SMS de l’organisation nous demandant de nous mettre à l’abri à cause des orages, la course sera neutralisée pendant 12h (19h-7h). Je ne trouve aucun hôtel ouvert, j’enchaine les petits villages mais rien. Finalement je trouve le panneau d’un gite avec un numéro de téléphone, il est complet mais m’envoie vers le camping le plus proche. Le gars me loue un petit mobil home et me fait à manger alors qu’il est fermé, pour rappel on est le 29 juin.

A la première base de vie, j’ai récupéré le port de crème anti-frottement, à l’origine il devait me servir pour remplir le petit pot que j’emporte. La nouvelle position m’a soulagée le dos
mais le frottement de la selle m’a brulé ! Au camping, je profite de cette pause imposée pour faire le bilan, ce n’est pas fameux j’ai à peine fait plus de la moitié, je suis au km 489, mon genoux me fait souffrir, le dos va un peu mieux mais ce n’est pas la folie et au niveau postérieur, je n’ai rien à envier aux babouins !
Je prends une douche, je me soigne, je mange et après avoir donné quelques nouvelles, je me couche. Réveil à 7h par l’organisation qui nous annonce la réouverture de la course, je mettrais encore une heure pour tout mettre en place. Mon corp lâche de partout, l’objectif est de rallier la boulangerie la plus proche à 15km du camping. Une fois atteinte, je prends mon « gros » déjeuner, mais depuis la veille ça ne passe pas, j’ai du mal à m’alimenter, de fait j’envoie un message à mon coach : « Je suis au pied de la cayolle, j’ai le corps en vrac, j’ai du mal à m’alimenter … Je me laisse une paire d’heures pour savoir si je continue … »
Steph m’appelle dans la foulée :
- « Comment ça va ?
- Pas terrible … mon corps lâche !
- Ok, là, tu es en train de mettre en place une stratégie d’abandon, tu n’as pas fait tous les entrainements pour ça ! Ne me dit rien, tu as mal au genou droit !
- … Oui ! (mais comment il le sait ?)
- Ok, ne néglige pas que tu es blessé mais va dans une pharmacie et strape toi. Tu roules un peu et tu me rappelles.
- Ok merci ! »
Je trouve donc une pharmacie, en guise de strap il me vendront de l’adhésif pour bande, mais psychologiquement ça marche. Je repars sous une pluie fine jusqu’à Tallard ou je m’arrêterais pour manger … un Kebab. J’enchainerais ensuite jusqu’à Barcelonnette accompagné par une pluie soutenue cette fois-ci. La pluie m’obligera a m’arrêter pour attendre une accalmie. Je rejoins mes beaux parents à Barcelonnette, mon beau-père me passera une goretex et un T-shirt sec.
Après deux cafés, je m’apprête à gravir la Cayolle, mais c’était sans compter sur mes beaux-parents qui m’ont dissuadé de le faire sous la pluie et de nuit, car il est 18h30, le sommet ne serait atteint que 2h plus tard. Un indigène me dit qu’il fait 6°C en haut. Je me résigne et rejoins donc le centre du village, j’achète de quoi manger pour le lendemain et je prends une chambre dans un hôtel pour sécher mes affaires. Il est 20h, il ne pleut plus, j’ai mangé mais
toute mes affaires sont trempées, je suis tellement gavé de caféine qu’il m’est impossible de dormir, je fini de tout sécher avec le sèche-cheveux. Je repartirais avant l’aube, sans avoir vraiment dormi.
La montée de la Cayolle se passe sans encombre, il n’y a pas de voiture et les marmottes sont sur la route, elles se poussent à peine quand j’arrive. Lorsque je bascule dans la descente je comprends la réticence de mon beaux père et des indigènes également, à faire la Cayolle de nuit. Je descends sans encombre jusqu’à Guillestre, où je dévaliserais une boulangerie. J’arrive rapidement à Guillaume ou se trouve la deuxième base de vie, je suis parmi les derniers du 1000 et je me retrouve mélangé aux coureurs du 300 et 500 km. Je ne resterais pas longtemps à la BdV, je repars via les gorges du Daluy, j’ai toujours adoré ces gorges, leurs couleurs rouges est tout simplement splendides.
Arrivé à Entrevaux, c’est là que ça se gâte un peu, on recommence à grimper, gentiment, puis un peu plus sérieusement ! Lors du passage du col du buis j’ai les yeux rivé sur mon compteur qui m’indique le pourcentage, il passe de 6% à 7% pour sauter à 9% puis 11, 12 et finalement 14% ! Je mettrais pied à terre et je passerais le col à pied, 14% avec 800km dans les jambes se sera pour une autre fois. Il ne reste plus que quelques concurrents du 500, dont un me dira que je suis plus trop lucide. Mes réponses à ses questions venant très lentement.

La suite sera mieux, je file sur St Auban et je prends une micro-pause à Comps Sur Arturby avant la dernière partie de la course, il est 17h30 je suis au km 760, je fais 15mn de sieste, histoire de récupérer une peu de lucidité.
J’enchaine par un long plateau pour rejoindre le pont de l’Arturby, j’ai un vent chaud de face, je ne sais pas si la route est en faux plat descendant ou montant ? Une fois le pont passé je m’engage sur les hauteurs des gorges du Verdons, ce n’est pas très dur physiquement mais il y a 21 km de montée à flan de roche, je n’aperçois jamais le col sauf une fois arrivé. Je redescends sur Aiguine, après moultes hésitations je décide de continuer et de manger à Aups.
J’arrive à Aups, les terrasses sont pleines, je rejoins un duo qui est sur le 500, il est 21h30 et il reste 120 km. J’avale une pizza et un tiramisu puis je m’équipe pour la nuit.
Dernière vérification, phare, feux, gilet, tout est ok, je m’élance dans la nuit … 10 km plus loin ma lampe s’éteint ! Ma lampe de secours est à moitié vide, je m’arrête dans un village pour recharger ma lampe de secours avec ma power bank. Mais j’ai un dilemme, la power bank peut alimenter soit la lampe soit le gps car je n’ai qu’un câble. Je câble la lampe et je m’allonge sur un banc, 30 seconde plus tard je me redresse et je repars car j’ai un GPS de secours également et il est suffisamment chargé.
Il ne reste que 120 km, j’ai planifié d’arriver à 6h le lendemain matin. Je m’étonne que la route ne fait que monter, tu descends 10mn et tu montes pendant des heures mais ce que j’ai oublié c’est qu’il reste 4500m de D+ sur 120 km !
L’avantage de rouler de nuit, c’est le calme et la fraicheur. Je roule avec un parisien qui est sur le 1000 comme moi, il a tellement mal au fesses qu’il ne peut plus s’assoir, il est en danseuse quasiment tout le temps. Je le distancerais dans une cote, je commence à bailler, une fois, deux fois, j’attends la troisième pour m’arrêter. Il est 3h, je décide de dormir 15 mn sur un banc, je dormirais 30mn au final. Le pc course m’appelle pour me dire que la route devant est fermée et m’indique la déviation à prendre. Je repars avec mon compagnon de route qui m’a rattrapé pendant ma sieste. Il s’arrêtera quelques kilomètres plus loin. J’arrive dans le département des Alpes Maritimes au levé du jour, c’est là que mon GPS s’arrête. Il reste quelques pourcent sur la power bank qui me serviront à le faire redémarrer. Il s’arrêtera définitivement une vingtaine de minutes plus tard. Je bascule sur mon GPS de secours, moins pratique car il affiche la trace mais pas la carte. A 6h je m’arrête dans une boulangerie à St Cézaire / Siagne. Mon compagnon de route ne me rejoindra pas, j’enchaine les derniers kilomètre sous la chaleur qui commence à arriver. J’atteindrais Mandelieu à 9h après 4 jours de course.
Je suis heureux d’être Finisher, je devais enchainer en septembre avec les Badlands, mais je vais reprendre l’entrainement sérieusement et je les ferai l’année prochaine. Steph, mon coach, ne pas lâcher, il m’a accompagné tout le long. Je rempile pour l’année dans la Team Point Barre avec lui.

Matériel :
- Vélo : Cannondale TopStone équipé en SRAM AXS 2x12
- Braquets : 11-36 et 30/46 (un 10-33 avec 43/33 serait mieux)
- GPS principal : Wahoo Elmnt ROAM V2
- GPS de Secours : Amazfit Stratos III
- Sac de selle et de cadre Apidura
- Phare Principal : T6 CreeXm-L
- Phare de secours : ROckBros D1-800 Lumen
- Feux arrière : feux en provenance d’Amazon (j’en ai 3)
- Eau : 2 litres
- Nourriture : Gels et barres HollyFat que j’ai tendance à appeler Holly Fart ! Plus barre d’amande et barre de fruits secs broyé²s.
- Cuissard : Assos Ultra
- Maillot au couleur de mon sponsor (court et long)
- Coupe vent décathlon
- Chaussure Shimano
- …


(*) https://france.raceacross.cc/
La Race Across France est une épreuve d’ultra-cyclisme et non-stop sur les routes légendaires de France. 
Chaque année, une cinquantaine de cyclistes y participent sur des distances de distances, 300, 500, 1000, 1500 et 2 600 kms pour la plus longue
Pour le parcours de 1000 km, comprenant  les cols les plus durs et les paysages les plus beaux, le dénivelé atteint plus de 22 600 mètres ! Le tout à réaliser en moins de 5 jours. Pour relever ce défi, vous devrez rouler jour et nuit, avec ou sans assitance. Vous devrez passer par les stations de chronométrage, dont une est éliminatoire. 

Semaine Fédérale 2023 - Pont à Mousson 

La Loraine pour la troisième édition de SF dans cette région, nous a fait découvrir Pont a Mousson et sa région. Ce fut pour l’équipe du CCC (Edith/JP-Laurent-Daniel –Alain) une bonne aventure malgré une météo pour le moins capricieuse. Certes, cette semaine parmi les 39 au tableau de chasse du club ne figurera pas dans le top 10. Mais qu’importe lorsque l’on est accro de la SF l’on prend ce qui est proposé et nous ne le regrettons pas !!!

Mention spéciale pour Alain Daniel et laurent qui furent logés chez l’habitant. Des gens charmants les ont accueillis avec d’autres cyclos. Ce fut un grand moment de partage fort apprécié de tous lors des invitations de leurs hôtes pour apéro et spéciale pizza.

Nous espérons que l’an prochain à Roanne pour la 40 em du CCC, nous pourrons former un bon groupe à l’image de celui de 1989 où nous étions à Feurs pour une vie de château à Goutelas.

JP 

Sortie grands cols en Savoie

La Savoie, c'est beau et ça s’voit !


Comme les Trois Mousquetaires, nous partîmes à quatre dans le fourgon obligeamment prêté par la municipalité de Coudoux. Sans armes mais avec les bagages et nos cinq vélos.

Quatre heures et trente minutes plus tard, nous nous installions dans un hôtel de St Jean de Maurienne, connu dans toute l’E.U. Température fraîche, ciel bas et gris, suffisamment lourd pour nous inquiéter de notre projet de la journée de demain : gravir les cols du Glandon (1924m) et de La Croix de Fer (2067m).
Une bonne fée, nommée Rose-Marie (prière de ne pas l'appeler Marie-Rose, c'est "épouxvantable") nous avait préparé de succulents maccaronis à la tomate que nous dévorèrent à quatre dans un square carré, pour l'heure déserté par les amants de St Jean. Une bouteille d'un excellent Beaujolais de 2020 que Daniel avait songé à apporter fut carrément appréciée.
Une bière plus tard dans un endroit sonore et nous fûmes à l'hôtel où nous n'usâmes pas de la possibilité de fumer sur le balcon des chambres, laissant cette mauvaise manie à d'autres, car il en faut pour tout le monde.
Avec l'inquiétude de la météo du lendemain, certains des Mousquetaires passèrent une mauvaise nuit imméritée.
Samedi 1er juillet, départ du Tour de France, quelques morceaux de ciel bleu apparaissaient entre les nuages. Suivant les conseils avisés de Daniel, nous étions couverts, bien emmanchés pour la plupart et même un cuissard long pour un singulier.
Échauffement le long de la vallée de la Maurienne car il faisait frais jusqu'à Ste Marie, puis St Etienne de Couines et enfin, à nous les cols durs !
Bien entraînés par le hors d'œuvre de la semaine précédent dans le Trièves, Laurent prit la tête, suivi par Patrick, Daniel faisant le vélo-balai au cas d'une défaillance de JaC, avec dans sa sacoche électrique tous nos effets pour la descente. Dire que nous glandons en route serait exagéré mais enfin : 20 km de montée pour plus de 1400m de dénivelé positif, ça se fait. D'autant plus que nous faisons route avec le CTG, un club de Cyclos Grenoblois que nous retrouverons tout au long des deux jours, sympathiques, ne manifestant pas sinon une volonté exprimée de faire passer le BRA -Brevet de Randonneur Alpin- aux Provençaux que nous sommes : les pôvres !
Avant d'atteindre le sommet le ciel s'est éclairci et même apparaît le soleil. Les paysages sont magnifiques ; il ne fait pas froid (pas chaud non plus) et atteindre la Croix de Fer proche avec ses 2067m est une plaisanterie (bien sûr, si je mens je vais en enfer car nous avons revu la semaine dernière près de Mens : "PRÉPARE-TOI A COMPARAÎTRE DEVANT TON DIEU" cf. Vélocipède n° 42-2021).


Après le deuxième col, la descente s'engage à tombeau entrouvert car deux Mousquetaires n'ont pas l'âge requis. Notre objectif est de déjeuner à St Sorlin D'Arves car il est déjà 13h. emportés par notre élan nous dépassons l'auberge où nous avons réservé et il nous faut remonter bien au-delà du village pour prétendre enfin à une bière méritée et un repas délicat. Il fait encore beau mais comme le dit le corbeau dans les films d’horreur : cela ne va pas durer.
Nous reprenons la descente vers St Jean de Maurienne et St Jean d'Arves (je ne vous fais pas un dessin mais pense que c'est à dessein que foisonnent les noms de Saints ; voir + haut) et "Horreur ! Malheur !" le ciel s'assombrit et nous apprenons que des travaux nous empêchent d'atteindre directement notre but. Nous formons un groupe mixte retraités/travailleurs et cela nous permet d'apprécier cette péripétie qui nous empêche d'arriver trop tôt en nous permettant de gravir un troisième col dans la journée.


Nous devrons atteindre le col du Mollard à 1638m et, comme se doit, c'est humide dès le sommet et nous mettons double ou triple couche dans la descente, sous une pluie battante et fraîche derrière Daniel le béni, que même Laurent ne parvient pas à suivre sur une chaussée mouillée et parfois gravillonnée.
Pendant les douches, nous regardons la première étape du Tour de France 2023. C'est un duo de jumeaux Grands-Bretons qui gagne à Bilbao. Vive l’Europe !


Avant le repas du soir, nous décidons de charger les vélos dans le fourgon pour gagner du temps le lendemain matin. A la grande surprise de l'un d'entre nous, les pneus bleus d'un de nos vélos sont usés jusqu'à la trame dont des bouts dépassent largement sur le pourtour. Cela n'est vraiment pas digne d'un Mousquetaire que de s'être embarqué ainsi sans vérifier l'état de sa monture. De plus, lors de la grande descente sous la pluie, s’ils avaient perdu l'un des leurs, les quatre Mousquetaires se seraient retrouvés à l'étroit. Patrick ayant apportés deux pneus de secours, Daniel et lui changent les pneus de l'imprudent qui ne peut que les remercier de pouvoir affronter demain de nouvelles aventures.
Repas à l'hôtel et nuit réparatrice pour trois des quatre Mousquetaires, le quatrième la passant à tirer sur ses crampes.
Hôtel réglé, bagages chargés...temps couvert mais pas de pluie. Nous espérons une matinée aussi clémente que la veille, nous verrons bien. 

En route pour St Michel de Maurienne (!) où un chien fou que je ne nommerai pas veut grimper le col du Télégraphe en négligeant la remarque d'Alain B. (+ de 12km mais- de 900m de dénivelé +).
Les trois autres gravissent le col en fourgon et réalisent que ça monte ! Garent le véhicule au sommet et en route pour Valloire où ils recherchent un café ouvert. Il fait frais le ciel s'éclaircit lentement au cours de la montée vers le Galibier : 2642m, - de 20km depuis Valloire et plus de 2000m+.
De façon inattendue, la montée- lente pour votre serviteur- paraît longue et nous permet de découvrir des panoramas à vous redonner du souffle pour poursuivre votre effort, le soleil est de la partie mais il ne fait pas chaud en montagne (nous re bénissons Daniel). Au passage de la Ferme des Etroits, l'un des Mousquetaires s'esclaffe, silencieusement. Les vaches nous encouragent en faisant tinter leurs cloches pour annoncer l'arrivée proche. Les vélos qui nous doublent sont plus nombreux que ceux que nous passons, sauf s'ils sont à l'arrêt. Des cyclos de la CTG nous passent, échangeons des amabilités, le temps est beau, le paysage grandiose plus nous montons. 19.80 ? je pensais que nous étions vers 2200m, à non ! c'est le prix du Beaufort au kilo. Nous y repenserons.
Chacun à notre rythme, lent pour ce qui me concerne, nous atteindrons le sommet mythique. Patrick, puis JaC chapeauté par Daniel. Au sommet du Galibier il fait froid, le vent souffle et a dégagé les nuages des sommets. Panorama double, Savoie et Haute Savoie, de chaque côté du col. C'est vraiment magnifique la montagne, on gagne à chaque fois...Mais Laurent manque, nous craignons qu'un Télégraphe plus un Galibier, cela fasse beaucoup. Le message passe et nous descendons lentement à la rencontre de l'absent pour lui permettre de redescendre avec nous.
Que nenni ! Trois km plus bas, c'est Patrick qui remonte accompagnant Laurent qui paraît fatigué. Nous lui proposons d'inverser le sens de la pente, refus hautain : "Plutôt mourir sur le vélo". Il fait le fanfaron avec ses pneus neufs ! Jambes moles ... tête dure ! Les deux actifs poursuivent leur ascension et les deux inactifs descendent à la fruitière de la coopérative locale du Beaufort. A l'abri du vent ils se réchauffent en attendant leurs compères.
Un coup de soleil plus tard, ils sont là et réunis nous descendons vers Valloire sans hâte, nous arrêtant au passage devant des "sculptures temporaires" en paille aux formes oniriques. Le premier restaurant fera l'affaire, à savoir se réchauffer pour les uns et améliorer leurs coups de soleil pour les autres.


A 14h30 nous reprenons vers notre dernier col : le Télégraphe. Depuis Valloire c'est une formalité et même celui qui l'a déjà gravi par sa face difficile l'avale rapidement, selon son style propre. Nous nous changeons au fourgon et laissant ceux qui ignorent la beauté du Galibier se prendre en photographie devant le panneau du col, nous partons vers Coudoux -dans un véhicule où règne une odeur très genrée "homme"- où nous espérons être avant 20 heures.
Grace aux deux plus jeunes qui, comme à l'aller, se relaient au volant et grâce aux bouchons qui se forment DERRIÈRE nous, les autoroutes de montagne puis de la vallée du Rhône nous permettrons d'atteindre notre objectif en temps espéré.

 Chez Daniel G., devant une bière sans faux col les Trois Mousquetaires clameront leur devise, inspirée par l'un d'entre eux : "Un plus trois, trois plus un !"

Sortie Alpestre dans Le Trièves à MENS

Témoignages des participants :

"Nous n'avions pas tout vu lors de notre première virée en 2020, Mais à l'issue de cette deuxième édition nous pouvons dire que ce n'est pas une fin en soi ! "

Jean-Pierre

"La vérité si je Mens, la montagne ça vous gagne !
Et cette fois, pas besoin de grands cols, pour se faire les jambes, un cumul de dénivelé par enfilade de cols plus modestes, fini tout aussi bien par nous faire atteindre des sommets
"

Laurent

"De tous les parcours faits, il est l'un des plus beaux, pour nos yeux, pour nos jambes et les moments de partage. Tellement magnifique, qu’on en oubliait la fatigue et les moments d’ endurance. J’ai encore des étoiles dans les yeux et de belles images dans ma tête"

Michel

"Belle organisation du CCC dans le Trièves . intendance au top grâce à Marité ,Jackie et Édith Très bon choix des parcours, du Samedi et du Dimanche sur de belles routes et de beaux paysages, Du beau temps et une très bonne ambiance entre les huit participants . Un beau week-end et de beaux souvenirs"

Claude

"Comment ai-je pu oublié le Trièves de 2020, Un séjour trop court 2023, un paysage de douceur, de fraîcheur offerte gracieusement sur ces routes bâties en voûtes d’arbres verdoyants, ces prairies clairsemées de coquelicots, de bleuets qui se dressaient à notre passage, j’aurais bien troqué ma bicyclette pour quelques pinceaux et couché sur un papier canson ce paysage magnifique. Je vous offre volontiers mesdames le bijou naturel émeraude lac du Sautet, en échange de vos mets préparés avec amour, que nous avons savourés tout au long de ces jours d’amitiés. Le vélo : il y avait des pentes difficiles, peut être, je ne m en souviens pas."

Alain

"Le Trièves ,,, Là où on est, on est bien. Et on voit loin, et on voit haut. Puis on a vite envie de faire une photo. Par crainte d’oublier.C'est l'avantage du vélo que de pouvoir s'arrêter à chaque fois que le paysage vous y invite. Malgré la fatigue, car le pédalage est quelquefois difficile, on a envie d'aller voir plus loin"

 Jeannot

Après tout ça vient le compte-rendu…

La D.1075, entre le col de Lus- la-Croix et Monestier-de-Clermont est un balcon de 25 kms avec vue sur le Trièves. Comme en 2020 le C.C.C. a séjourné ce weed-end de fin juin, dit des Alpes, en réalité dans les Pré-Alpes, au camping du Pré-Rolland de Mens. Pour les Alpes, il y a autre chose dans l’air pour les jours qui suivent...

Le Trièves c’est une mini-région de 630 km²en collines, champs et forêts, de 25 kms d’est en ouest et pareil du nord au sud, Elle n’est traversée d’aucune grande route, Idéal pour le vélo mais aussi pour les promenades douces. Voire la marche… La ceinture des hautes montagnes du Vercors et du Dévoluy nous donne l’occasion , comme en 2020, d’aller voir de l’autre côté. C’était le Vercors et le Diois en 2020, c’est le Valbonnais et le Dévoluy cette année.

2023, Pour samedi le vertigineux Drac puis le Dévoluy jusqu’au défilé de la Souloise, en passant par Corps, étape des « Cent jours de Napoléon » et le lac du Sautet. A l’extrême sud , Saint Disdier, pas grand-chose à voir sauf un bon café. Pour le dimanche le coeur du pays en suivant l’Ebron qui finit au pont de Brion avant de s’écouler sur le lac de Monteynard.

A chaque retour au bercail, on est impressionné et on a du mal à s’imaginer avoir été quelques heures avant de l’autre côté de ces montagnes,

En chiffres, un samedi ordinaire de 9 heures de sortie dont 5h30 sur la selle pour faire une centaine de kilomètres et plus de 1900 mètres de dénivelé. Pour compléter un dimanche pas moins ordinaire de 55 kms et plus de 1100 mètres de dénivelé, En température on est passé de 35° à de courts passages à 19°. Pour ce qui est des performances caloriques, tout cela a été possible grâce à une préparation gastronomique pointilleuse et conséquente, ainsi qu’une motivation reconnaissante et répétitive, juste ce qu’il faut, en produits liquides. Pas seulement pour la vaisselle.
En ces instants liquides et précieux, malgré les points de vue divers et variés sur les qualités télé-visuelles de nos émissions préférées, vaste sujet de discussion, au final se dégage une convergence d’opinions par lever du coude unanime. Bref, le partage en maître mot.
Pour assurer la réussite la logistique et le matériel ont été bien préparés, en GPX, VAE et autre carte Michelin. Chacun sa technique, Quant au musculaire, ça suit encore. Ouf !

Une pensée également pour Frédérique et Jo qui étaient prévu(e)s au programme et empêché(e)s pour cette fois.

Pour conclure, il semblerait, sauf erreur, que nos photos aient été autant de messages à cette nature que nous aimons, messages d’amour ? Même quand elle nous donne un peu de fil à retordre pour la reconnaître. Mais est-ce propre au vélo ?

A plus sur le vélo pour ne pas se prendre la tête mais toujours les jambes. 

Jeannot








Sortie Luberon

Bonsoir chers compagnons, 

ci joint le fruit de votre plaisir, il y en avait pour tous les goûts ! 

En tous cas nous sommes prêts à recommencer : c'est tellement beau !!!
Merci Daniel, nous comptons sur toi.

Le petit "jeune" (92 ans) s'appelle René Genin et c'était un courreur professionnel de 1951 à 1959 (voir son palmarès).

A + JP

Périple à vélo des jeunes d'allemands d'Owinguen

Rendez-vous était pris entre le cyclo club de Coudoux et le groupe des jeunes Allemands d'Owingen vendredi 2 juin dans le petit village de Cheval Blanc où un circuit avait été établi par Jacques et Daniel pour rejoindre Coudoux en fin d'après-midi .
Malgré un retard d'une heure environ dû à un violent orage nous avons afin pris la route pour un superbe parcours de 55 km .
A notre arrivée à Coudoux un rafraîchissement et un bon repas ont clôturé cette magnifique journée.
Jocelyne et Joël Galina

Pentecôte à méjannes le Clap


Pentecôte à Mejannes le Clap

Mejannes …. C’est là dans ce village perdu dans une belle nature des Cévennes que nous allons passer notre séjour Pentecôte au VVF. Pour nous accueillir un super dirlo : Olivier. Il y va de son petit pitch rappelant entre autres que l’établissement des années 65 (du siècle dernier) sera entièrement rénové prochainement. Nous lui avons promis de revenir dans 3 ans, si toute fois nous pouvons tenir jusque-là !!!

-12 h ! Il est l’heure de passer à table, un grand moment pour les 25 membres ayant faits le déplacement. Sortie de table, nous sommes tous rassurés : c’est très bien comme c’est souvent le cas dans les VVF. Pour le reste des repas pris ici et ailleurs, je ne m’étendrai pas davantage, Marie –T et Jackye ont fait suffisamment de photos mises sur les réseaux pour nous mettre en appétit !!!
Maintenant, place au vélo. Il est pour principe de rouler tous ensemble le samedi après- midi, ce qui fut respecté tout au long de ce super parcours dessiné par JB (47 kms et 578 m de dénivelé). Un seul bémol ! La température de 38 °c. C’est du lourd, heureusement que les copains sont à l’unisson pour porter aide au non branchés EDF ! De ce fait tout le monde sera à l’heure pour l’apéro CCC : Incontournable !!!

Voir carte interractive du parcours commun du samedi

- Dimanche, pour les rescapés de la veille une belle boucle les attend. Ils pourront découvrir tous les joyaux de la région : villages (les plus beaux de France), rivière où l’on se baigne (il y a encore de l’eau !) cascades. Et tout ça sur des routes toutes neuves et sans voiture…..Magique ! Par contre ce qui l’est moins se situe au 80 em km : 5,7 kms de côte. Toujours par forte chaleur, la difficulté finale avec les 2 derniers kms de plat font très mal…. Enfin tout sera effacé, avec le bon bain dans la piscine qui nous attendait.
Pour les autres membres qui avaient choisi l’auto pour le déplacement, ils en prirent plein les mirettes sur toutes les belles choses découvertes et bonnes choses à ingurgiter (demandez le programme à Marie-T et Jackye)
La journée ne pouvait pas se terminer sans une note sortant de l’ordinaire ! Eh bien ce fut fait en la chapelle de Mejannes le Clap. Un trio vertueux était là pour une sérénade de 1h30 sur la musique d’un compositeur parfaitement inconnu (disciple de Bartók) mais aussi sur des musiques alimentaires du « petit Mozart ». Certes, pas de quoi en redemander, mais dans l’ensemble plutôt agréable (surtout la fin !).

Voir carte interractive du parcours du dimanche


- Déjà lundi ! Ce soir il manquera les 2 travailleurs à l’appel ! (Laurent et Rose-M). Néanmoins, ils auront eu le plaisir de s’offrir avec les quelques autres cyclos (6) la montée « du Guidon du Bouquet » Une attraction en soi ! Sur 5/6 Km avec des pentes entre 10 et 20 % : ça calme ! Arrivés au sommet, ils seront acclamés par l’ensemble du CCC venus en grand nombre pour nos cyclos mais aussi pour le spectacle du départ des parapentes en grand nombre sur ce spot réputé de la région.
L’après-midi pour certains se terminera par une belle rando imaginée par JB sur un site avec en toile de fond un magnifique village : MONTCLUS (tout un programme !)

Voir carte interractive du parcours du lundi

Nous remercions René pour ce magnifique choix, encore grâce à lui nous nous sommes régalés.

Bravo à JB pour ses choix de circuits.

A l’année prochaine, Où ?

Amitiés

JP

Col du Pointu - jeudi 1er juin 2023

 Jeudi 1er juin, 1ere sortie du mois ? Je confirme.

Le week end de Pentecôte passé sans grandes surprises kilométriques et dénivelé, il fallait se dégourdir les jambes sur le Col du Pointu.

Départ 7h30, les fadas du vélo de Coudoux étaient présents, Jean-Pierre, Daniel, Michel, Jeannot, Jac, Pierre-Jean, Julio et moi.

Direction 4 termes, loupé !….donc Eguilles et son trafic quotidien, heureusement pour nous, on ne le subissait que dans le sens inverse.

Direction Rognes puis Cadenet, arrêt café de 15 min environ et reprise vers Lourmarin accompagné d’une météo très favorable. Les Combes de Lourmarin nous attendent, un plaisir des yeux, très roulant, pas de trafic, et groupe CCC en harmonie malgré un déraillement du vélo de Jac. Petit arrêt au Col du Pointu, où nous avons échangé quelques émotions de parcours avec un couple cycliste Helvétique, photo…loupée !

Descente vers Apt pour 1,5 kms environ, D232 sur notre gauche, arboré de cerisiers couverts de fruits qui ne demandaient qu’à être dégustés… J’ai osé… Petite remontée dans le village de Bonnieux, court arrêt auprès d’une table qui désirait être envahie. Loupé !

Arrêt un peu plus haut sur une fontaine du village, plutôt rare de nos jours, pour remplir ma gourde aride, direction la foret des cèdres, arrêt… loupé !

En compagnie de Jac, nous attaquons la descente, superbe paysage encore. Enfin Lourmarin, splendide coup d’œil sur le château du XV siècle construit sur des ruines de forteresse du XII ème siècle. On connaît bien sûr, mais faut pas le louper.

Pédalons sus sur Cadenet, route de St Paul, traversée de Lambesc par le casse cul, OUI !, et notre tant désiré Quatre Termes, la bière chez Michel annoncée ne ravit seulement quatre cyclistes…elle était délicieuse, faut pas louper, merci Sucellos (non non Pierre Jean !!).

In fine 105 km, 1300 m de dénivelé, 4h53 de route et mal aux pattes ????

Bonne matinée entre copains ; je me conseille un repos de quelques jours….

BA.

Anniversaire 40 ans du CCC

C’était hier : les 40 ans de notre CCC

Samedi 13 mai enfin le grand jour est arrivé. Voilà des semaines que nous travaillons pour que la fête soit belle. Cette récompense a failli être compromise par une météo des plus chaotique dans l’après-midi. Enfin, elle n’entacha que très légèrement les festivités.

Ces festivités dignes de notre club débutèrent sur le coup de 11 h30 où les premiers invités venus des 4 coins de la France : Bretagne – Sud –Ouest –Sud-Est – Centre et de Billafingen commencèrent à affluer sur cette espace magnifique de notre terrain de boules municipal. Leurs yeux n’étaient pas assez grands ouverts pour contempler les magnificences des décorations faites par nos Dames. Rien n’était trop beau à commencer par la déco des tables et les extérieurs du barnum. Mais le point d’orgue fut le buffet apéritif : un véritable tableau de « Maitre » !!! Bravo… Bravo Mesdames.

A 12 h 30 tout le monde était présents (92 p) pour entendre le discours du Président en présence de Mr le Maire Guy Barret et de Nicole Crespy et aussi des membres fondateurs : Guy Gallardo- René Bosch- Pierre Buho. Jean Marc Zulesi notre Député arrivera un peu plus tard. Ce discours retracera les grandes étapes de notre club crée en 1983 et aussi de la belle aventure que nous vivons toujours aujourd’hui avec nos amis de Billafingen. A la fin du discours Jacques Dupuy et Henning Kohlmann prirent la parole et ils me remirent deux ouvrages exceptionnels*. A La suite de quoi nous avons levé nos verres à l’amitié qui nous lie depuis toutes ces années qui furent hélas entachées des drames de la vie : combien il est dur de perdre un ami ! Un hommage sera rendu à nos chers disparus.

Il est 13h 30, Jean Marc Zulési vient d’arriver nous pouvons passer à table. Cette arrivée coïncide aussi avec l’arrivée de la magistrale paëlla pour les 90 convives présents !!!

C’est du bonheur, nos amis d’hier sont toujours restés dans nos cœurs et combien ils et elles se sentent toujours chez eux. Les quelques heures passées ensemble hélas ne suffisent pas à satisfaire notre désir de revisiter toutes ces belles années chargées de multiples anecdotes plus cocasses des unes que les autres. La table des souvenirs chargée d’albums photos en témoignent.

Enfin le dessert !!! Trois magnifiques gâteaux décorés seront découpés par notre sympathique Député dans une sacrée ambiance de fête, au point que nous ne remarquerons pas la petite averse qui crépitait au-dessus de nos têtes.

Toute fête à une fin, bien sûr ! Nous aurions voulu la faire durer, mais le meilleur était vécu : il convenait de nous séparer à nouveau dans le regret de quitter des Amis de toujours.

Encore merci à toutes et à tous pour votre présence.

*Je reviens sur les 2 ouvrages qui m’ont été remis par Jacques et Henning. Ils figureront parmi les documents majeurs de notre club. Je les détiens mais ils sont votre propriété !

Merci à mes 2 amis qui ont mis toute leur énergie et passion à l’édification de ces ouvrages.

Journée du « TRESORIER »

C’est devenu une tradition depuis 2014, nos amis Lulu et Guy nous convient pour une belle journée à Vinon sur Verdon dans le très beau parc sur les bords du Verdon. Cette année, (petite par le nombre :23 participants), elle n’en restera pas moins grande par la qualité relationnelle qu’elle dégage. C’est l’image qui en ressort ! Sur les 23 participants, nous serons 12 sur les vélos pour une belle boucle tracée par JB.

Il fait bien frais ce matin sur la D4 longeant l’autoroute : un petit vent de face nous rappelle que nous sommes toujours en avril ! Enfin 6 km plus loin, changement de cap avec une longue côte pour nous amener sur le plateau et ses champs de lavande : il y fait déjà meilleur !!! A Valensole, après un bon café pris sur la place de la Mairie, nous nous séparons de R.Marie, René et Guy. Ils prendront la tangente de retour sur Vinon. Pour les autres, c’est le début de belles grimpettes et de descentes dans un cadre de verdure très sauvage sans voiture ! Bien nous en fasse ! Au 30 em km, ça se « corse » : route très étroite avec du gros %. Philippe avec peu de vélo dans les jambes s’en ressent malgré l’acquisition d’un nouveau cheval !!! Nous voilà à Allemagne / Provence où une surprise nous attend : un raidillon de moins d’un km mais droit comme un I (du 14 et 20%). Là, c’est le cas de le dire, on traine les pieds !!! Pour Philippe, c’est plus que raide et avant Albiosc avec Daniel et Jp, ils prendront un raccourci pour regagner Esparron / Verdon. On connait les raccourcis : ce n’est jamais trés bon. De fait, à Esparron, cherchant leur route, ils tomberont nez à nez avec le gros de la troupe !!!

Esparron : encore un cadre magnifique dont on ne se lasse pas. Photo !!! L’heure tourne et encore 20 km à faire. Ce sera sans Philippe. Il aurait bien voulu ! Mais voilà : son « cheval fougueux » a dit stop sous prétexte d’une crevaison bizarre de la roue arrière !!! (Pour la suite : merci à Guy venu le récupérer). Pour les autres, la partie de manivelle s’est poursuivie sur les routes bien connues de Gréoux les Bains.

13h 30 nous voici de retour au « Parc » où nous attendaient nos amis qui avaient déjà dressé un apéritif bien garni !!! Dans la joie et la bonne humeur nous enchainerons sur les victuailles du club suivies des fabuleux desserts que nos maitresses de maison savent si bien faire : merci Mesdames.

Merci à Guy et Lulu qui une fois de plus nous ont offert une super journée, l’occasion de revoir nos amis éloignés de nos activités sportives et également la belle rencontre avec Jo de retour parmi nous.

A l’année prochaine

JP

Pâques en Provence

Cette année, c’est de Sault que nous partirons pour cette rando de Pâques en Provence : la première grande manifestation de la Fédé de l’année à laquelle le CCC ne déroge pratiquement jamais.

Il convenait donc pour les 6 inscrits (petit bémol : panne de réveil pour Jac ! il ne sera pas du voyage) de partir aux aurores avec le mini bus de la mairie pour prendre le départ du 90 km avec ses 1600 m de dénivelé choisis par Laurent- Lolo- Robert Michel et JP.
Voir le parcours

Première étape : l’inscription ! Sur l’esplanade face au Ventoux par une température plutôt fraîche et un petit vent qui n’arrange rien que nous nous sommes acquittés pour 5 € tout compris de cette tâche.

Et voilà, c’est parti pour les 2 velos à jambes et les 3 VAE. Beaucoup connaissent cette première portion direction St Trinit, la petite boucle que nous faisions lors de précèdents Ventoux pour nous mettre en jambe : très roulant malgré la pente ! De ce fait Michel et JP sont restés sur la réserve de leur batterie jusqu’à Banon. Devant ça roulait fort : ils avaient raison d’en profiter car cela n’allait pas durer !!!

Effectivement, après Banon toujours très animée par l’attraction de sa librairie à ne pas manquer et après une longue descente nous rentrons dans le vif du sujet avec la grimpette sur Vachères. Très beau petit village perché, c’est le cas de le dire et il y en aura bien d’autres !!!

Le plus actif de la bande : Lolo !!! C’est vrai que depuis qu’il est stagiaire derrière un ordi il avait une soif bien compréhensive de vouloir en découdre. Hélas ! Ce fut au détriment du pôvre Laurent qui s’échine au tableau noir sur des équations que personne ne comprend …

Et voilà pour le hors d’œuvre ! Allez ! le ravitail c’est dans 13 km. Une paille mais quelle paille ? A 1,5 km du tant attendu ravito un « MUR » se présente devant nous : entre 14 et 18 % tout du long. Là ça dérouille : beaucoup à pied, et la plupart au ralenti. Les VAE ! Ils s’en sortent mais sans panache, il convient d’assurer l’avenir (en ce qui me concerne, j’ai mis 2 fois le pied à terre pour reprendre mon souffle).

Enfin le ravito ! Merci à l’organisation pour sa qualité … (demandez à Laurent : il a tout goûté !!!)

Dommage, il n’y avait rien pour rassasier les VAE. C’est ce qui a particulièrement inquiété Robert qui avait un peu abusé de son cheval et dû repartir au-devant d’un avenir incertain pour le reste du parcours : encore 40 km !

Très beau parcours, avec en toile de fond les sommets des Alpes encore enneigés. Des routes certes un peu rectilignes par endroit mais pour la plupart d’un revêtement parfait et pratiquement sans voiture : du bonheur !!!

Nous avançons ! 65 em KM et voilà Simiane la Rotonde, magnifique village lui aussi bien perché (parlez-en à Laurent il vous dira …) . S’en suivra de longues portions de montées et descentes pour arriver à St Cristol (75 em km). Là, avec d’autres cyclos également dans le même état que nous, nous nous interrogeons : soit suivre le tracé ou prendre la tangente directe Sault ? Unanimement pour notre groupe, malgré quelques ronchonnements de Michel, nous choisissons l’option : circuit à tout crin !!!

Tout de même : 5 km de montée à 4,5 de % , ça use même les batteries qui sonnent le creux !!! Et nous voilà sur la grande descente pour Sault à plus de 60 nous dévalons la pente.

A Sault sur l’esplanade, beaucoup de cyclos (ils étaient 500 inscrits ce matin) à siroter l’apéro Pascal. Nous échangeons quelques mots qui reviennent en boucle : ah cette côte, terrible !!! Certains avaient traversé la France pour cette aventure de 3 jours, pour un début c’est réussi !

Après un passage en terrasse afin de savourer cette belle journée, retour au bercail par les petites routes.

A l’année prochaine…   Où ? Mystère !

JP

Randonnée de la Cote Bleue


Les deux font la paire !!! Laurent et JP s’en sont donnés à merveille sur ce grand RDV que nous ne devions pas manquer. Certes, le vent fut de la partie, avec lequel il nous fallut jouer des braquets. Mais rien d’insurmontable, même plutôt favorable sur les principales difficultés du parcours telle que la première montée sur Ensués- la –Redonne et le col de la Gatasso. Le plus difficile fut la montée de Martigues à St Mitres les Remparts : là le pauvre Laurent en a bavé…. Il s’est bien rattrapé sur le retour Martigues où les 60 au compteur furent bien dépassés. Un grand merci aux équipes sur les ravitaillements avec lesquels nous avons passé de bons moments.

Pour tout dire ce fut 82 km et 850 m de positif que nous ne regrettons pas, bien au contraire le rendez- vous pour 2024 est déjà pris !!!

JP

Riani 2023

Mais où donc sont passés les Reines et les Rois ?

Vous devez vous poser la question, étant donné que le 20 janvier il y avait de programmé ce fameux « Gâteau des Rois » !... Eh bien oui mes amis l’assemblée a bien eu lieu pour une petite trentaine d’entre nous. Ce premier évènement de l’année fut un bon moment de bonheur bien arrosé de cidre doux pour la plupart des convives, exception faite pour les connaisseurs de ce breuvage qui ont préféré s’en remettre au chef qui avait approvisionné une qualité digne de ce nom !!!
En conclusion : vive les Reines, vive les Rois !
Merci à toutes et à tous pour votre présence

Amitiés
JP

Pralognan la Vannoise 2023

Nous y revoilà ! 3 ans d’errance pour enfin retrouver nos marques dans ce magnifique village de la Vannoise. Par contre fini Vacanciel que nous avons remplacé en mieux par IGESA. Grand merci à Patrick Manet qui s’est occupé du dossier CCC pour les 12 inscrits de cette édition, auxquels se sont rajoutés Edith et JP pour le repas du soir (merci à Cathy et JB pour leur intervention).

Vite, nous avons retrouvé nos pistes alpines de cette petite station : Patrick, Michel et Michel, JB, Cathy. Ils en ont bien profité par la grâce d’une météo favorable malgré des températures très basses : jusqu’à -12°c. Il en fut de même pour nos skieurs de fond : Marcel – J.Philippe- JP. Nos marcheuses (Jackie –Marie T- Chistiane-Régine – Nadine) également ne furent en reste sur les sentiers praticables, dans un décor somptueux par la neige restée sur les sapins.

Le point d’orgue de ces activités montagnardes restera celui qui nous mena au refuge du « Roc de la Pêche ». Une belle balade de 16 km sur le GR 55, qui suit un sentier relativement damé et praticable à ski de fond. Au refuge une belle récompense nous attendait par l’accueil des hôtes mais aussi par la qualité de leur table.

A l’IGESA, nous ne tarirons pas d’éloge pour la qualité d’hébergement, restauration et animation. Pour cette dernière, il convient de souligner son ambiance exceptionnelle qui en plus du traditionnel programme mené par les animateurs du centre, fut supplée par le groupe « des bretons » (une trentaine) qui avec accordéon et tout un répertoire de chansons et de danses mirent « le feu » chaque soir après le repas !!! Bien sûr le CCC ne sera pas en reste avec aussi son groupe de chanteurs hauts en couleur !!!

Une semaine remarquable grâce à vous les amis !.. Merci pour votre participation et bonne humeur, merci aussi à Christiane et Michel qui chaque soir nous ont accueillis dans leur chambre (à 14) pour l’apéro de l’amitié.

A l’année prochaine

Amitiés

JP

La dernière de l'année

Pause cafés & croissants (merci PJ) à St Chamas puis visite de la maison aux santons sur la route de Grans pour les traditionnelles photos de groupe pour notre revue  du Vélocipède.

Pas de pitié pour les croissants

Voilà c'est fait ! 
La saison "2023 vélo" a bien débuté ce matin du 15 janvier. 
De ce fait, nous nous sommes retrouvés pas moins de 18 autour de la table dressée sur la placette du bistro “du Platane” à St Chamas. En moins de rien, croissants et “petits noirs” furent engloutis, comme quoi il était temps "d'officialiser".

Merci à nos amis du groupe II, venus nous rejoindre pour cette collation matinale.

A+ JP